Aller, venir, attendre, rater, croiser…
Ces “temps morts” dans les halls de gares, sur les quais, sont un peu une métaphore de ce que nous véhiculons par nos actions : la créativité, c’est si on le décide. Rien n’est purement inutile ou utile, seule la manière confère un sens !
Les aéroports, les gares, les stations… Ces lieux de transition sont par définition une parenthèse, un moment d’attente. Hormi pour le personnel qui y travaille, ils ne sont une fin en soi pour quiconque. Alors pourquoi ne pas faire de ces temps de correspondance, des temps de correspondance avec soi ?
Nous souhaitons proposer aux usagers de faire contre mauvaise fortune bon coeur ! De mettre à profit ce temps d’attente et d’en faire une parenthèse créative inattendue. Et si l’ambiance peut par cette même occasion se détendre et créer du lien… On entendra bientôt chanter “Vive les trains supprimés !”